Vous êtes ici

routes
Chaque jour, les Lotois empruntent 4 000 km de routes départementales
Les routes,
en bonne voie

En comparaison avec les autres départements et rapporté au nombre d'habitants, le Lot possède l’une des plus grandes longueurs de routes départementales de France. L’investissement du Département pour entretenir et rénover les 4 000 km de voirie est donc conséquent, afin de conjuguer aménagement du territoire et sécurité routière.

Les grands projets en cours
Pour répondre aux besoins des Lotois et préparer l’avenir
giratoiredesserres.jpg
  • Après l’ouverture de la déviation de Figeac, le Département poursuit, dans la continuité de l’itinéraire, le projet de contournement de Cambes (estimé à 11,5 M€). Plus d'infos
  • Le chantier de la déviation de Sauzet (RD656) a débuté, avec la construction d'un premier giratoire. L’investissement total est de 2,3 millions d’euros pour le Département du Lot.
  • Au carrefour des RD 801 et 673 au Vigan, un giratoire a été construit  par le Département pour sécuriser cette zone particulièrement accidentogène. Le coût total de l’opération s’élève à 450 000 €.

    Deux autres giratoires sont construits grâce à des cofinancements à proximité de deux zones d’activités d’importance afin de renforcer la sécurité routière : à Cahors sud  (1,8 M€) et à la ZAC de l’Aiguille à Figeac  (750 000 €).

  • Dans le même esprit, entre Cahors et Pradines, le Département a déjà construit le giratoire des Serres sur la RD 8 qui permet de fluidifier le trafic de la rocade de Cahors (900 000 € à la charge du Département, avec une participation du Grand Cahors de 275 000 €). A signaler également, la mise en service également du giratoire d’entrée sud de Gourdon (RD 12) (2,38 M€ pour le Département). Tout comme la construction du pont-rail menée par RFF, a permis de supprimer le passage à niveau (PN 312) qui était un point noir en termes de sécurité routière. Au nord du Lot, le nouveau du giratoire de Carlat, à Biars-sur-Cère, permet de sécuriser l’intersection de la RD 940 et de la RD 14. Le montant global de l’opération pour le Département s’élève à 1,1 M€.
  • Sur la RD 720 à Saint-Michel-de-Bannières (un projet de 4 M€ avec la construction d’un giratoire et l’aménagement de la route existante) : les virages de Blanat sont sécurisés (3 millions d'euros).

 

Les étapes d’un projet routier
pas à pas

Les engins arrivent, les travaux débutent … On a souvent l’impression que le projet commence à cet instant là, mais ces travaux sont le résultat de nombreux mois d’études, de procédures, de concertations et de négociations … Un document présente les principales étapes imposées par les textes, et mûries par les expériences passées lors de projets menés par le Département du Lot.

Les ouvrages d’art,
un patrimoine à préserver

Les ponts sur le Lot, la Dordogne et le Célé concentrent l’attention du Département qui investit chaque année près de 2 M€ pour offrir une seconde jeunesse à ces vénérables ouvrages.

On recense dans le département plus de 900 ouvrages d’art (ponts et tunnels) : un chiffre important qui s’explique par une topographie tourmentée et une forte densité de cours d’eau. Et aussi par l'histoire : le Lot n’a pas connu de destruction massive de ses ponts pendant la Seconde guerre mondiale, contrairement à d’autres départements français. Préservés, ces ouvrages d’art font la beauté de nos vallées, mais ils ont vieilli et nécessitent des travaux pour les pérenniser.

 

Voie d'avenir : tout savoir sur le projet

La déclaration d’utilité publique (DUP) de la Voie d’avenir qui avait été prononcée en 2016 est annulée, suite à la décision du tribunal administratif de Toulouse rendue le 30 mars 2018.

Les conseillers départementaux déplorent cette issue, qui réduit à néant plusieurs années de travail et d’engagement en faveur d’une desserte plus performante et plus sûre de tout le nord du Lot. Plus d'infos
Aboutissement d'un travail très complet, accompagné d'une méthode participative exemplaire (comité de suivi, réunions publiques, registres dans les mairies), le projet de Voie d'Avenir destiné à désenclaver le nord du Lot vers l’autoroute A 20 était soumis aux élus en octobre 2013.

Ces derniers avaient le choix entre deux tracés. Le T2.1, qui a l'avantage d'être un peu plus court (6 km), recèlait de lourds inconvénients qui ont incité les élus à se prononcer sur le T3 (25 pour, 5 contre, 1 abstention). Ce dernier tracé par Martel étai nettement moins onéreux (55 millions d'euros contre 115 millions d'euros), beaucoup moins impactant sur l'environnement et parfaitement adapté au trafic des poids lourds vers l'A20.

Le travail sera poursuivi en concertation avec toutes les parties prenantes afin d’améliorer la solution, en privilégiant notamment le réaménagement d’itinéraires existants.

Ces dernières années, le Département du Lot a d’ailleurs poursuivi ses investissements pour améliorer la liaison : déviation de Puybrun, aménagement à Saint-Michel-de-Bannières, déviation de Vayrac ...